Accompagné (virtuellement) de rappeurs Mike le tueur, Meek MillTrop $hort, Ty Dolla $ign, YG, E-40, et Tyga, gouverneur de Californie, Gavin Newsom a signé un nouveau projet de loi aujourd’huilimitant l’utilisation de paroles de rap comme preuve dans les affaires pénales de l’État. C’est en contravention d’une tactique assez standard utilisée dans les affaires judiciaires contre les musiciens, et en particulier les musiciens noirs, où les paroles axées sur des activités illégales – livrées, comme beaucoup de rap, à la première personne et par un personnage adopté – sont présentées au tribunal comme si elles étaient mal pensées confession musicale à la réalité crimes.
Exemple concret : la récente inculpation du RICO (en Géorgie, attention, pas en Californie) contre les rappeurs Young Thug et Gunna, où les paroles des deux artistes interprètes ou exécutants carrières musicales ont été déposés en preuve contre eux. Nous ne sommes pas qualifiés pour rendre compte des détails du cas réel, remarquez, mais nous sommes presque sûrs ce Johnny Cash était jamais demandé de répondre, devant un tribunal, pour cette fois, il a avoué avoir tiré un homme à Reno pour la raison cruelle et frivole de simplement vouloir le voir mourir.
La Californie droit en question porte le titre The Decriminalizing Artistic Expression Act, et a été poussé en partie par la Black Music Action Coalition, qui se bat également pour que la législation fédérale atteigne des objectifs similaires à l’échelle nationale. Selon le coprésident du BMAC, Willie Stiggers, « Ta signature de AB 2799 (The Decriminalizing Artistic Expression Act) dans la loi californienne est une énorme victoire pour la communauté artistique et créative, et un grand pas dans la bonne direction vers notre législation fédérale – The RAP Act (Restoring Artistic Protection Act) – empêchant l’utilisation des paroles comme seule base pour engager des poursuites. La Black Music Action Coalition félicite le gouverneur Newsom pour sa volonté de se tenir aux côtés des artistes et de défendre notre droit à la liberté d’expression du premier amendement.
Jeanne est une journaliste de 27 ans qui se passionne pour le cinéma et la culture pop. Elle adore dévorer des séries Netflix et se tenir au courant des dernières news sur les célébrités du moment. Jeanne a toujours été intéressée par l’écriture, et elle aime travailler comme journaliste car cela lui permet de partager sa passion pour la narration avec les autres.