Chez Urana Gachiakuta La série manga a reçu une bande-annonce spéciale avant la date de sortie du troisième volume, qui est fixée au 16 septembre. BEEWORKS GAMES, Kodansha et Weekly Shonen Magazine sont crédités pour l’art.
Le manga a commencé la sérialisation en février de cette année dans le Weekly Shonen Magazine. Le premier volume est sorti le 17 mai et le second le 15 juillet. Kei Urana dessine à la fois l’art et écrit l’histoire, ce qui a suscité des réactions positives de la part des lecteurs. Il n’y a pas encore eu de traduction officielle en anglais, mais l’auteur a tweeté sur son compte personnel, déclarant que c’était en préparation :
L’intrigue suit Rudo, un garçon qui vit avec son père adoptif dans un bidonville à la périphérie d’une ville riche. Rudo passe son temps à essayer de récupérer ce qu’il peut des ordures des autres, qui finissent par se retrouver dans « l’abîme » – un trou utilisé pour jeter les ordures. Cependant, ce ne sont pas seulement les déchets qui sont jetés dans l’abîme, car les gens s’y retrouvent parfois aussi si leurs actions sont jugées inacceptables pour la société. Le père de Rudo était l’un de ces cas, après avoir été accusé de meurtre.
Un jour, Rudo rentre chez son père adoptif mourant dans leur maison. Il est immédiatement arrêté et jeté dans l’Abîme. Mais, au lieu de mourir, il se retrouve entouré d’étranges monstres, entièrement faits de déchets. Il est bientôt attaqué mais un homme mystérieux appelé Engine intervient pour le sauver. Engine révèle qu’il est un « nettoyeur » et que son objectif est de sortir du gouffre. Rudo n’a d’autre choix que de le rejoindre…
Le moteur orne la couverture de Gachiakuta Tome 3 :
Source : chaîne YouTube du magazine hebdomadaire Shonen
Gachiakuta © Kei Urana, Kodansha
Jeanne est une journaliste de 27 ans qui se passionne pour le cinéma et la culture pop. Elle adore dévorer des séries Netflix et se tenir au courant des dernières news sur les célébrités du moment. Jeanne a toujours été intéressée par l’écriture, et elle aime travailler comme journaliste car cela lui permet de partager sa passion pour la narration avec les autres.